Richard Martel, candidat du Parti Conservateur du Canada

Initiative / projet d’information de RueMorin.com – Élections fédérales 2021

Voilà maintenant plus de 3 ans que j’ai le plaisir de servir les citoyens de Chicoutimi—Le Fjord. Je me suis lancé en politique avec un seul désir : vous servir et redonner aux gens.

Le dernier mandat n’a pas été de tout repos avec la pandémie, vous servir a pris tout son sens, ce sont des centaines de citoyens qui ont nécessité nos interventions pour leurs problèmes de PCU, d’assurance-emploi, d’immigration ainsi de suite…

Avant mon élection partielle, j’ai été profondément touché par ceux qui ont eu recours à l’assurance-emploi pour cause de maladie. Dans ces cas-là, le système ne couvre que 15 semaines, ce qui n’est pas suffisant. Je me suis levé en Chambre pour l’affirmer et je continue à en parler au sein de notre caucus. Le Parti conservateur du Canada (PCC) s’engage dans le plan d’Erin O’Toole à offrir 52 semaines d’admissibilité.

La pandémie a mis en lumière quelques problématiques déjà présentent comme la pénurie de main-d’œuvre, la crise du logement et le manque d’infrastructure numérique en milieu rurale.

Le PCC entend continuer de faire appel aux travailleurs étrangers, d’offrir des incitatifs pour aider les travailleurs, de mettre en place des mesures pour la formation, d’élargir le bassin de travailleurs disponible et d’agir pour le retour des gens sur les mesures d’urgence au travail.

Le PCC entend construire un million d’habitations au cours des 3 prochaines années en libérant au moins 15 % du portefeuille immobilier fédéral pour le logement, en encourageant les promoteurs à construire les habitations, en permettant de reporter l’impôt sur les gains en capital quand ils vendent une propriété locative et réinvestissent dans des logements locatifs et(ou) en convertissant des bureaux non utilisés en logements et en exigeant que les municipalités qui reçoivent un financement fédéral pour le transport en commun augmentent la densité près de l’infrastructure financée.

Le PCC va connecter l’ensemble du Québec à Internet haute vitesse d’ici 2025.

Je n’ai jamais abandonné de défendre notre région et de faire en sorte que c’est possible d’avoir des grands projets ici. Le gouvernement du Québec a mis fin au projet de GNL-Québec et nous respectons cette décision. Nous devrons collectivement en tirer des conclusions.

Je crois que les grands projets de développement économique sont toujours nécessaires pour amener les recettes fiscales nécessaires pour financer notre filet social et financer des infrastructures qui pourraient permettre de rendre plus vivants nos centres-villes et notre région.

Il nous faut envoyer un signal clair que la navigation sur la rivière Saguenay n’est pas seulement permise mais souhaitable. Nous croyons qu’il faut que Port de Saguenay atteigne son plein potentiel avec l’ouverture de routes commerciales nordiques. Cela demeure mon principal cheval de bataille pour cette campagne.

Le PCC va lutter contre les changements climatiques globalement, ici au Saguenay—Lac Saint-Jean, nous sommes des leaders qui peuvent contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre, non seulement au Canada mais surtout en dehors de nos frontières; c’est-à-dire là, où sont émis 98,4 % des émissions globales.

Un autre pilier de notre région est, sans contredit, l’apport de l’industrie agricole et forestière à la santé économique de notre région. Mes positions sont claires dans ces enjeux. Dans le cas de l’industrie forestière, la protection du caribou forestier ne doit pas se faire au détriment des emplois de la région. Concernant l’industrie agricole, il y a un gros manque de leadership à cet égard. Premièrement, nos relations internationales sont si mauvaises que nos produits peinent à quitter nos frontières. Deuxièmement, le PCC s’est engagé à dédommager, sur le champ, l’industrie laitière, qui a beaucoup perdu dans les négociations commerciales.

Le PCC a toujours cru en l’aluminium comme un métal de l’avenir. Il a été présent et il a agi face aux menaces protectionnistes américaines avant même que le Bloc Québécois redevienne un parti reconnu par la Chambre des communes. Le PCC va continuer d’agir, d’adopter une politique pancanadienne d’achat d’aluminium faible en carbone, d’offrir un allégement fiscal pour les 5 premières installations qui utilisent une nouvelle technologie qui permet de réduire les émissions et d’augmenter les exportations de nos ressources et produits les plus propres pour remplacer les produits dont la fabrication est plus polluante.

De plus, nous devons favoriser la croissance de la Base militaire de Bagotville. Elle représente le troisième plus grand employeur de la région. Elle est essentielle à la prospérité de notre secteur de services. Alors qu’on s’apprête à choisir la prochaine génération d’avions de combat, il faut garder à l’esprit que celle-ci sera probablement la dernière qui sera pilotée par un être humain. En effet, ma vision en est une à long terme. Après ces derniers avions, il faut se tourner vers les drones. Le PCC a choisi Bagotville pour accueillir les drones militaires.

Nous pouvons diversifier notre économie en appuyant les besoins en approvisionnement des Forces armées canadiennes (FAC). Par exemple, le PCC entend encourager les FAC à se procurer des carburants renouvelables pour leurs besoins. Nous pourrions d’ailleurs en produire.

Le Parti conservateur sait gérer un budget. C’en est assez de payer notre épicerie avec notre carte de crédit ! Nous le ferons de façon responsable, en 10 ans.

 


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